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Bruxelles le 8 octobre 1845
Mon cher Monsieur Quetelet,
J’ai écrit à Mr VON DIECK le 27 du mois dernier, lui disant que j’étais autorisé à faire l’acquisition du chronomètre mais que, d’après mes instructions, je le priais de me faire savoir si le prix de l’instrument n’était susceptible d’aucune réduction.
Je reçois à l’instant la réponse de Mr VON DIECK. Il me mande que dans l’espoir d’obtenir de nouvelles commandes, il consent à laisser le chronomètre pour 45 liv[res] st[erling] au lieu de 50. Je vais donc lui écrire de nouveau afin de conclure.
Agréer l’assurance de mon bien sincère attachement.
Votre très dévoué,
[signé] A. Nerenburger
P.S. Veuillez je vous prie m’envoyer l’acquit de la douane, et je m’empresserai de faire la demande nécessaire pour le remboursement des frais.