À Monsieur Quetelet, Directeur de l’Observatoire Royal, &, &, &,
Bruxelles, le 14 décembre 1844
Monsieur,
Parmi les renseignements que vous m’avez fait l’honneur de me fournir pour la correction du Calendrier de l’Almanach Royal, ne figuraient point ceux relatifs aux éclipses de 1845.
Je vous serais obligé, en conséquence, de me mettre à même de réparer cette omission en me communiquant les pages de l’Annuaire de l’Observatoire qui comprennent ce renseignement.
Je viens de recevoir l’avis qu’une lunette astronomique de grande dimension, destinée à l’Observatoire royal, doit arriver dans le courant de cette semaine par la douane de Quiévrain. Les pièces de cet instrument sont renfermées dans une caisse marquée A.2. n° 1 pesant 133 kilos.
J’ai l’honneur de vous annoncer l’expédition de la lunette de 8 pouces, emballée dans une caisse marquée AQ n° 1, pesant 133 kilog., douanée pour partir aujourd’hui par l’entremise de BÉDENC aîné, commissionnaire, rue Bleu, n° 8, et être rendue à Bruxelles, en sept jours, par Quiévrain.
Soumis par Hilde Langenaken le mer, 19/04/2017 - 17:33
[NB. Le début de ce rapport non daté commence au §2 de la p. 1 : Monseigneur, etc.]
J’ai fait dans ces derniers temps la connaissance de l’astronome BURCKART [Johann Karl BURCKHARDT], que je n’avais pu voir jusqu’alors. Il m’a reçu avec la même bienveillance, avec le même empressement que ses autres collègues. J’ai eu l’occasion d’examiner ainsi l’observatoire de l’Ecole militaire qu’il m’a montré dans tous ses [détails ?].
Soumis par Hilde Langenaken le mer, 19/04/2017 - 16:50
Monsieur, j’ai tardé jusqu’à présent de répondre à l’aimable lettre que vous m’avez fait l’honneur de m’écrire, parce que je désirais pouvoir vous annoncer en même tems que j’avais reçu la valeur de mon mandat et que j’avais remboursé les 400 francs que je devais à Mr FALCK. Ces petites affaires sont terminées maintenant et il ne me reste plus qu’à vous remercier pour les sentiments de bienveillance que vous avez bien voulu me témoigner et dont vous m’avez déjà donné des preuves bien honorables.
Soumis par Hilde Langenaken le mer, 19/04/2017 - 16:46
N° 4
La Haye, le 21 juin 1824
Je ne puis laisser partir la lettre officielle d'aujourd'hui sans y ajouter quelques lignes pour vous faire mes excuses de mon silence prolongé. Différentes causes y ont contribué. Je pourrais les énumérer mais ce qui vous intéressera uniquement, à ce que je crois, sera de scavoir [sic] qu'aucune indifférence de ma part pour votre personne ou l'objet de vos études n'y a contribué.