Persoonlijk leven, familie & vrienden

Gand, 11 mars 1858
À Monsieur Quetelet, Secrétaire perpétuel de l’Académie royale, &a
Monsieur et cher Confrère,
Conformément à vos désirs, j’ai l’honneur de vous envoyer le résumé de mes observations météorologiques de 1857, en vous exprimant de nouveau mes regrets de n’avoir pu vous le remettre le jour où vous me l’avez demandé.

[À] Monsieur De Decker, Ministre de l’Intérieur
19 mars 1856
Monsieur le Ministre,
L’état dans lequel je me trouve, me force, de l’avis de mes médecins et de mes amis, à m’abstenir de tout travail scientifique et à m’absenter quelque temps de Bruxelles. Je me suis rendu à ces conseils et je viens en conséquence vous demander l’autorisation de m’éloigner.

29 janvier 1856
[annoté en marge :] 26 janvier 1856, 5e division 1ère sect[ion], n° 1887/7725
[À] Monsieur le Ministre de [non complété]
Monsieur le Ministre,
J’ai reçu avec une vive reconnaissance votre lettre du 26 de ce mois ; je vous remercie beaucoup pour la sollicitude que vous voulez bien marquer aux travaux de l’établissement que je dirige.

Ministère de l'Intérieur
5me Division
N° 1887/1827
Sommaire. Congé accordé à Mr QUETELET

[À] Monsieur Quetelet, Directeur de l'Observatoire royal de Bruxelles

Bruxelles, le 30 août 1855

Monsieur le Directeur,

En réponse à votre lettre du 20 du courant, j'ai l'honneur de vous informer que je vous accorde très volontiers un congé de quinze jours, pour vous aider à rétablir votre santé.

T. Ertel & Sohn
Reichenbach' sches
Math. Med. Institut
München
[À] Monsieur Monsieur Gédele [sic], Directeur de l’Observatoire royal [etc.] à Bruxelles
Munich le 20 août 1855
Monsieur,
Le 12 du mois passé nous avons eu l’honneur de vous remettre l’autorisation en question mais cependant cet temps nous avons pas la moindre réponse de votre part ; en conséquence nous nous trouvons dans la position de vous prier encore une fois de nous informer de l’état de cette affaire.

À Monsieur le Ministre de l’Intérieur
Bruxelles, le 20 août 1855
Monsieur le Ministre,
Je viens d’éprouver une attaque cruelle à la suite des travaux qui m’ont été imposés par mes fonctions à l’Observatoire. La Faculté, fin [sic] de remédier à cet de choses [sic], m’a prudemment indiqué comme [de me donner ce ?] moyen de rétablir entièrement ma santé, de faire une absence sur les bords de la Loire, une abs une légère absence.

À Monsieur Quetelet, Directeur de l'L'Observatoire
Bruxelles, le 21 mars 1855
Monsieur et Cher Directeur,