Royal Academy

Chronomètre de Von Dieck

Bruxelles, le 20 septembre 1845
Mon cher Colonel,
J’ai l’honneur de vous transmettre ci-joint les renseignements que vous m’avez demandés au sujet de la marche du chronomètre anglais (n° 874 VON DIECK) qui se trouve déposé à l’Observatoire royal.
Ce chronomètre a été observé depuis le milieu d’octobre dernier, sur la prière de l’artiste qui m’a été spécialement recommandé par un des principaux astronomes de l’Allemagne et qui désire se faire connaître en Belgique.

Application de la loi des pensions au personnel de l’Académie

N° 23302 du Dépt 16me Série
Ministère de l’Intérieur
6e Division
N° 2160
N.B. On est prié de rappeler, dans la réponse, le chiffre de la Division et le N° d’enregistrement.
1 Annexe
À Monsieur Quetelet, Secrétaire perpétuel de l’Académie Royale des Sciences et Belles-Lettres de Bruxelles
Bruxelles, le 30 août 1845
Monsieur le Secrétaire perpétuel,

Chronomètre de Von Dieck

Bruxelles, le 20 septembre 1845

Mon cher Colonel,

J’ai l’honneur de vous transmettre ci-joint les renseignements que vous m’avez demandés au sujet de la marche du chronomètre anglais (n° 874 VON DIECK) qui se trouve déposé à l’Observatoire royal.

Ce chronomètre a été observé depuis le milieu d’octobre dernier, sur la prière de l’artiste qui m’a été spécialement recommandé par un des principaux astronomes de l’Allemagne et qui désire se faire connaître en Belgique.

Application de la loi des pensions au personnel de l’Académie

N° 23302 du Dépt 16me Série
Ministère de l’Intérieur
6e Division
N° 2160
N.B. On est prié de rappeler, dans la réponse, le chiffre de la Division et le N° d’enregistrement.
1 Annexe

À Monsieur Quetelet, Secrétaire perpétuel de l’Académie Royale des Sciences et Belles-Lettres de Bruxelles

Bruxelles, le 30 août 1845

Monsieur le Secrétaire perpétuel,

Observations d’étoiles filantes

À Monsieur Quetelet, Secrétaire perpétuel de l’Académie des Sciences & belles-lettres de Bruxelles
Gand ce 14 août 1845

Monsieur,

Envoi d’une épreuve de l’Almanach Royal

Ministère de l’Intérieur,

Bruxelles, le 5 mars 1845

J’ai l’honneur de présenter mes salutations respectueuses à Monsieur QUETELET, et de lui communiquer une épreuve de l’Almanach Royal pour ce qui concerne l’Académie.

Je prie, Monsieur QUETELET d’avoir la complaisance d’examiner cette épreuve et de me la renvoyer après l’avoir corrigée.

Son bien dévoué serviteur,

[signé] Eug. Vander Belen

Envoi d’épreuves de l’Almanach Royal

Ministère de l'Intérieur

Bruxelles, le 20 novembre 1844

Monsieur,

J’ai l’honneur de vous envoyer les documens à insérer à l’Almanach Royal de 1845 pour ce qui concerne le calendrier, l’Académie et l’Observatoire. Je vous prie d’avoir l’obligeance d’y faire les changemens et corrections que vous jugerez nécessaires et de me les renvoyer le plus tôt qu’il vous sera possible.

Je saisis cette occasion, Monsieur, pour vous réitérer les assurances de ma considération la plus distinguée et de mon dévouement,

[signé] Eug. Vander Belen

Envoi d’une épreuve de l’Almanach Royal

Ministère de l'Intérieur

Bruxelles, le 26 janvier 1844

J’ai l’honneur de soumettre à Monsieur QUETELET, à fin de correction, l’épreuve de l’Almanach Royal qui concerne l’Académie.

Son dévoué serviteur,
[signé] Eug. Vander Belen

Demande d’indemnités en faveur de Philippe Bernard, philologue

Bruxelles, le 19 février 1842

M. le Ministre,

M. le Dr BERNARD qui m’a été adjoint pour l’Académie pour m’aider dans mes travaux, m’a communiqué une lettre qu’il a eu l’honneur de vous adresser en date du 3 de ce mois.

Par cette lettre, M. BERNARD vous parle du projet qu’il a de composer un grand travail sur les manuscrits grecs de la Bibliothèque royale et il exprime en même temps le désir de voir attacher des émolumens à ces nouvelles occupations.

Confection d’instruments scientifiques, Pagani, projet d’observatoire

[note moderne] 011 / 4xFd

[NB. Ce rapport n'est pas daté].

Si je ne me trompe, c’est au concours de Harlem qu’on a posé une question sur les aimants, en défendant d’employer dans la réponse l’usage du calcul. Mr POISSON vient de traiter ici cette question avec toute la supériorité de son talent et c’est du calcul seul qu’il fait dépendre la solution du problème. L’Académie de Bruxelles, qui cloche bien aussi de temps en temps, a du moins eu le bon esprit de poser cette fois la question comme le demandait la dignité de la science.

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